«Un vote blanc, pour moi, en tant que photographe, c'est dire noir sur blanc le refus d'être coincé par des choix imposés. Il est indispensable que l'on mette à la disposition des électeurs des bulletins de vote blanc et essentiel que ces votes soient comptabilisés et non amalgamés aux votes nuls. Où en est-on avec la démocratie ? Je souhaite que l'on explique pour quelles raisons l'idée du vote blanc est impraticable. »
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Prix Vote Blanc de la Crétinerie d'Or.
Le prix honore chaque année des personnalités qui, par la profondeur de leur pensée, la pertinence de leurs remarques, ont réussi à démontrer que le vote blanc n'a pas lieu d'être.
Voir plus en détails les lauréats et les candidats
EDITION 2019
Premier candidat: Laurent Joffrin. " Que veulent-ils ? Dans quel sens amender l’action gouvernementale pour les écouter ? Mystère. Un bulletin blanc est un bulletin muet. Quand on ne dit rien, peut-on obtenir quelque chose ? " Libération 10 janvier 2019
Deuxième candidat: Jean-Louis Bourlanges, député MoDem: "La popularité croissante du vote blanc est significative de la puissance grandissante de deux pulsions psychosociales à l'oeuvre dans notre pays: l'égocentrisme et le négativisme" L'Obs, 17 janvier 2019.
Troisième candidate, une candidate ! Julia de Funes (philosophe): « Descartes se trompait en disant "Cogito ergo sum " En France, c’est " Deploro ergo sum " ». FigaroLive, 12 février 2019.
Quatrième candidat. Olivier Duhamel (politologue): Les bulletins nuls sont le vote des "alcooliques graves". FigaroLive, 12 février 2019.
Cinquième candidat. Philippe Moreau-Chevrolet (communicant): " Institutionnaliser le vote blanc revient à dire que l'on va voter pour ce que l'on croit vraiment, c'est-à-dire pour rien." RTL, 3 mars 2019
Sixième candidat: Eric Ciotti, député LR. Le vote blanc, "est-ce que ça va apporter du pouvoir d'achat à ceux qui en manquent ?", RTL 10 mars 2019. Est-ce que le droit de voter accordé aux femmes a-t-il augmenté le pouvoir d'achat de qui que ce soit. Les "Gilets jaunes" n'ont pas simplement demandé plus de pouvoir d'achat mais aussi d'être entendus.
EDITION 2018
Lauréat: Richard Ferrand. "Le vote blanc pourrait être un mouvement de dévoiement de la démocratie où tous les ronchons de la terre pourraient venir tout simplement s'opposer à tout et faire vivre leur insatisfaction perpétuelle. Ne souhaitons pas cela à notre démocratie et à nos citoyens. Ne les incitons pas démissionner ou à nier au fond la capacité à choisir, faisons-en plutôt des candidats." Les électeurs sont, pour celui qui depuis est devenu président de l'Assemblée, de mauvais citoyens, des aigris, des déserteurs, des frustrés qu'il faut éduquer.
Edition 2017
Lauréat collectif. C'est le slogan "Voter blanc, c'est voter Le Pen" de l'entre-deux-tours de la présidentielle.
« S’abstenir ou voter blanc, c’est voter pour Marine Le Pen » Manuel Valls BFM.TV 27 avril 2017
« C'est très grave de voter blanc. » Jean-Pierre Raffarin BFM TV
« S’abstenir ou voter blanc, c’est voter le Pen. » François Bayrou BFM TV 24 avril 2017
« L'abstention ou le vote blanc, c'est un coup de pouce à Mme (Marine) Le Pen », Alain Juppé sur son blog intitulé "Non!".
« Voter ni Macron, ni Le Pen, c’est voter Le Pen » Jean-Christophe Cambadelis 27 avril 2017
Non Messieurs, voter blanc, c'est voter en conscience, pour des convictions, ici contraires autant à celles de Marine Le Pen qu'à celles d'Emmanuel Macron. Pointer du doigt des électeurs en caricaturant leur vote c'est rendre un mauvais service et accélérer le processus que l'on dit combattre.
Edition 2016
(pas de prix décerné)
Edition 2015
Le vainqueur est:
LE GROUPE EELV A L'ASSEMBLEE
Même les écologistes, face à des intérêts à court terme -entrer au gouvernement - s'assoient sur leurs convictions:
AVANT: «Nous, élus écologistes, nous continuerons à œuvrer pour la reconnaissance pleine et entière du vote blanc, comme je l’ai déjà dit en commission. » Sergio Coronado (EELV), jeudi 28 novembre 2013, Assemblée nationale.
AUJOURD'HUI: « Certes, les bulletins blancs ne sont toujours pas intégrés aux suffrages exprimés, mais ils sont désormais comptabilisés et communiqués séparément des bulletins nuls lors de la proclamation des résultats.» Proposition de loi du groupe écologiste à l’Assemblée, mars 2015
La réforme électorale du 21 février 2014, jugée très insuffisante par les écologistes pendant les débats au parlement, est considérée suffisante aujourd'hui (!!!).
VAINQUEUR 2014
«Si le menu de la cantine ne te plaît pas, passe de l’autre côté du zinc et cuisine toi-même! Et si tu ne veux pas accepter de prendre des responsabilités, milite pour le système politique le plus exigeant du monde: l’anarchie.» Charb, Charlie Hebdo, 13 décembre 2013.
Voir les autres candidats de l'édition 2014
Lauréat de l'édition 2013:
Pour la première fois, l'Association remet un prix à un collectif. L'UDI a amplement mérité le titre 2013 suite à sa magistrale initiative parlementaire, préparée de longue date et criante de cohérence. Lire le détail de cette candidature.
Lauréat de l'édition 2012: «En tout état de cause, même s'il y avait 40 millions de votes blancs, il faudrait bien que quelqu'un soit élu.» Guy Carcassonne, constitutionnaliste vénéré, France-Info, 8 mai 2012. 39 999 999 bulletins blancs, un vote X: c'est X qui est élu !!!
Lauréat de l'édition 2011: «Ceux qui souhaitent comptabiliser les bulletins blancs ont une idée derrière la tête : démolir la république et l'Etat, mais sans dire au profit de qui ou de quoi.... » Michel Charasse, clown politique que l'on ne présente plus, La Montagne.fr, 19 août 2011.
Municipales
1er tour: 0 877 568 (4,31%)
2nd tour: 0 211 485 (3,08%)
Sénatoriales
27 Septembre. 2,37%
Rappel
Municipales 2014
1er tour: 1 595 821 (5,49%)
2nd tour: 407 061 (3,57%)
Présidentielle 2017
1er tour: 0 944 733 (2,55%)
2nd tour: 4 085 724 (11,52%)
Présidentielle (2012)
1er tour : 0 701 190 (1,92%)
2nd tour: 2 154 956 (5,82%)
Présidentielle (2007)
1er tour: 0 534 846 (1,44%)
2è tour: 1 568 426 (4,20%)
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Le 27 février 2013, Henri Caillavet est mort, âgé de 99 ans. Le 28, les socialistes et les centristes se ridiculisaient au sénat en se glorifiant de prendre la mesure électorale la plus inepte, le vote blanc séparé des bulletins nuls mais toujours censuré et toujours invisible dans les bureaux de vote, le citoyen étant encore, pour ces élus, un être mineur, inapte à l’indépendance.
Le sénateur radical socialiste Caillavet, lui, en 1980, avait déposé la proposition de loi la plus complète sur le vote blanc.
Lire les propositions de loi
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En ce 30 janvier 2003, pour la première fois une concession est faite au vote blanc. Certes microscopique, insuffisante, mais c’est une première. Au Sénat, en février 2001, les défenseurs du vote blanc s’étaient liquéfiés et leurs adversaires étaient sortis grand vainqueurs. Cette fois-ci, malgré les critiques totalement opposées au vote blanc formulées par certains participants et après avoir lui-même fait les réserves d’usage sur la prise en compte des bulletins blancs, le représentant du gouvernement, Jean-François Copé, chargé des relations avec le Parlement soutient un verdict positif pour le vote blanc. Ce sont les députés UMP qui ont joué aux mauvais politiciens. Ils vont détourner le contenu de la proposition de loi du groupe UDF demandant d’intégrer les bulletins blancs dans la catégorie des suffrages exprimés pour ne faire voter qu’une simple comptabilisation, sans autre effet, desdits votes. Guy Geoffroy, président de la commission, Pascal Clément, président du groupe UMP qui s’était prononcé en faveur du vote blanc dans un article de Libération quelques semaines plus tôt tournent leur veste pour obéir aux ordres du gouvernement mais ne veulent pas se contredire complètement ni mettre en porte-à-faux les députés RPR qui avaient par le passé déposé une proposition en ce sens notamment Thierry Mariani.
LE GOUVERNEMENT FLATTE LE VOTE BLANC
Il est temps d’entrer dans le contenu des échanges pour constater que si l’opposition classique ne sort pas véritablement ébranlée, le vote blanc a conquis certains satisfécits. On retrouve d’ailleurs ces deux facettes du débat chez Jean-François Copé qui, en grand professionnel de la politique, sait ménager la chèvre et le chou.
Après avoir récité l’argumentaire standard que ses collaborateurs ont trouvé dans un tiroir du ministère de l’intérieur, il rajoute un paragraphe inédit qui prépare l’adoption de la proposition remodelée par les siens. Et ainsi, on a le plaisird’entendre, au sujet de l’augmentation du nombre de bulletins blancs depuis dix ans : « Ce phénomène nouveau est analysé par les spécialistes comme une abstention participative’ ou une abstention civique .» On est loin du vote blanc décrit comme un vote blanc négatif. Les électeurs blanc’ ne sont plus, eux-mêmes, des ruraux écrasés par la pression sociale : « Les zones géographiques de forte abstention ne sont pas nécessairement celles ou la proportion de bulletins blancs et nuls est élevé. [Cela ressemble beaucoup à notre analyse, voir l’article La répartition du vote blanc (...) 1981-aujourd'hui' dans la rubrique 'Analyses sur le vote blanc'.] Il y a donc bien des comportements électoraux propres au vote blanc, qui n’est pas l’expression de gens indécis, indifférents ou sans opinion, et qui ne doit pas être non plus confondu avec les erreurs matérielles volontaires ou involontaires, qui caractérisent le vote nul. Le message formulé par des citoyens qui se sont déplacés pour accomplir leur devoir électoral ne peut être considéré comme négligeable. »
Plus tard, le même homme tempère notre enthousiasme. Le vote blanc n’est pas un « vote négligeable » mais il n’a pas la même qualité qu’un bulletin portant le nom d’un candidat : « Toutefois une élection démocratique n’est pas une simple mesure de l’opinion : un scrutin n’est pas un sondage. On ne vote pas pour soi, mais dans l’intérêt de la société. » Il faudra nous expliquer en quoi quelqu’un qui vote pour un candidat parce que celui-ci est contre l’impôt sur la fortune ou promet de faire baisser la délinquance ne choisit pas en fonction d’un intérêt immédiat et personnel. Il ne se soucie pas forcément de l’intérêt plus général de la société qui touche moins directement son quotidien.
Ainsi nous ne sommes pas dupes du discours de J.-F. Copé. C’est un homme politique jeune mais aux idées anciennes. Il reste encore dans la certitude que les partis politiques sont indispensables, infaillibles et qu’une erreur de leur part est toujours préférable à l’expression libre d’un électeur isolé. Il rejette l’amendement demandant le dépôt de bulletins blancs dans les bureaux de vote parce qu’il ne veut pas encourager les électeurs à voter blanc « d’autant que les enquêtes d’opinion nous enseignent qu’ils sont de plus en plus nombreux à ne pas avoir arrêté leur choix la veille du scrutin. » J-F. Copé n’hésite pas à se contredire. Si aujourd’hui ces électeurs qui choisissent dans l’isoloir ne votent pas blanc parce qu’aucun bulletin blanc n’est mis à leur disposition, que mettent-ils dans l’enveloppe ? Le bulletin d’un candidat. Cela veut donc dire que beaucoup de voix portées sur des candidats aujourd’hui n’ont pas pour but l’intérêt de la société mais sont nées de l’indécision. Il faudra que les adversaires du vote blanc arrêtent de vouloir donner un sens à chaque bulletin parce qu’ils se transforment alors en Elisabeth Teissier et tombent dans le ridicule. Nous préférons dire que la force du suffrage universel est de compter toute voix déposée dans l’urne comme valable et égale aux autres et qu’il faut se dispenser de vouloir la coucher sur un divan.
Cette remarque du représentant de l’Etat nous fait revoir d’un autre oeil son passage favorable au vote blanc. Et, en effet, on constate que, selon lui, le vote blanc est digne quand il est l’émanation des partis : « Le vote blanc et nul reste largement motivé par les consignes de vote exprimées par des formations politiques. Il s’explique par le refus du caractère ressenti comme plébiscitaire du référendum, le refus de choisir dans le cadre de scrutins présidentiels 1969, 1995, 2002 ou l’hostilité envers une politique dans le cadre d’élections législatives 1993 et 1997. »
L’URNE, BOITE DE PANDORE
Si donc il ne faut pas s’illusionner sur la mutation des mentalités de la classe politique, il faut apprécier la nouveauté. Jacques Brunhes, député communiste, et Emile Zucarelli, radical de gauche, ont développé un discours anti vote blanc pur sucre. Le vote final leur a donné tort, ce qui est appréciable et inédit. Le deuxième cité s’est écrié sur la fin : « Ne laissez pas libre expression à la population, ça peut être dangereux pour nous. » Il aurait pu commencer en s’écriant : « Empêchez Prométhée de nous voler le feu, il veut rendre le peuple nos égaux ! »
Si personne ne lui a répondu directement, la réponse se trouve tout de même transcrite dans le compte-rendu de la séance. C’est Pierre Albertini, le maire de Rouen, qui l’a formulée :
« Il y a une différence entre la résignation des représentants et la légitimité de leur action, comme l’ont bien montré les travaux de Paul Ricoeur, d’Alain Touraine et bien d’autres. Il en ressort que la démocratie n’est pas seulement un meccano’ institutionnel, un procédé de répartition des pouvoirs dans les sociétés modernes : c’est une valeur, un combat de tous les instants pour que nos concitoyens se sentent acteurs et pas seulement spectateurs (...) Un élu ne doit pas avoir peur du suffrage universel : s’il s’engage devant ses concitoyens, c’est qu’il en accepte par avance le verdict. »
Le groupe UDF a développé des arguments de fond dans un cadre institutionnel et cela aussi est nouveau. Mais comme on attend toujours plus, on eut aimé plus de résistance. Le début des débats l’avait laissé espéré :
Gérard Vignoble, rapporteur UDF de la proposition de loi : « J’ai vécu, mardi matin, la discussion sur le statut des infirmières, j’ai vécu aussi les différentes étapes de l’examen de la présente proposition en commission des lois. Je tiens à protester contre le mépris qui a été opposé à l’une comme à l’autre initiative du groupe UDF, la seconde proposition ayant été vidée dès le début de tout son sens par l’adoption d’un amendement.
Guy Geoffroy, président de la commission des lois : La majorité n’aurait-elle pas le droit d’amendement ?
G. V. : Si, mais en respectant au moins les idées des autres. »
Puis, le groupe UDF va adopter le ton de la dignité offensée, ce qui peut être loué mais qui, pour un sujet qui n’aura pas souvent l’occasion d’être débattu à un tel échelon, est dommage.
Les députés UDF ne participent pas au vote final.
Réaction n°1
Bravo pour cet article .... révélateur.
Il y a encore du boulot pour faire passer "le message" d'un vote blanc "engageant" et démocratique.
Continuez à prêcher la bonne parole
Municipales
1er tour: 0 877 568 (4,31%)
2nd tour: 0 211 485 (3,08%)
Sénatoriales
27 Septembre. 2,37%
Rappel
Municipales 2014
1er tour: 1 595 821 (5,49%)
2nd tour: 407 061 (3,57%)
Présidentielle 2017
1er tour: 0 944 733 (2,55%)
2nd tour: 4 085 724 (11,52%)
Présidentielle (2012)
1er tour : 0 701 190 (1,92%)
2nd tour: 2 154 956 (5,82%)
Présidentielle (2007)
1er tour: 0 534 846 (1,44%)
2è tour: 1 568 426 (4,20%)
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Bulletins blancs
206 pages
Ce livre prend la suite de celui publié en 1999. Il défend la comptabilisation des bulletins blancs comme des suffrages exprimés. Il présente l'évolution politique en France et ce qui se passe à l'étranger. Présentation
A QUOI BON ALLER VOTER AUJOURD'HUI ?
Sous la direction de Olivier Durand préface d'André Gerin
ACTUALITÉ SOCIALE ET POLITIQUE
Le vote utile est devenu une panacée pour les professionnels de la politique. Il faut à tout prix dégager un vainqueur. Et tant pis si l'électeur se sent floué. On commente énormément les résultats électoraux mais on étudie rarement le rôle et les motivations de l'électeur entré dans le bureau de vote. C'est tout l'objectif de ce livre : retrouver l'esprit de l'acte électoral
LE VOTE BLANC
Pour un suffrage vraiment universel
Olivier Durand
Préface d'Hervé De Charette
Premier livre sur le vote blanc, cet ouvrage se veut avant tout une synthèse engagée. Il défend sans ambiguïté l'idée qu'il faut aujourd'hui donner plus de poids aux individus à l'occasion des consultations électorales en respectant scrupuleusement leur opinion, et donc en intégrant dans la catégorie des suffrages exprimés les bulletins blancs.
ISBN : 2-7384-7628-7 1999 240 pagesPrix éditeur : 19,85 €
La Lucidité
Le livre du Prix Nobel Saramago où le vote blanc est le héros.
Lire notre commentaire du livre
The probability broach
de L. Neil Smith
Science fiction américaine publiée en 1980 dans un monde parallèle où le vote blanc (none of the above) va de soi.
Notre analyse du système démocratique présenté dans le roman: